Il est des larmes qui ne sèchent pas. Il est des blessures qui restent ouvertes.
Il est des êtres qui les surmontent quand d’autres finissent par sombrer.
Il est ceux qui les gardent en eux. À jamais.
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Comment survivre quand on est la seule personne éveillée parmi des êtres en proie à des cauchemars éternels ?
Princesse héritière de Modighjem, Liv se retrouve isolée, prisonnière de son pays désormais morne, séparée du reste du monde par un bois infranchissable, né le soir de la malédiction. Jusqu’au jour où son destin erratique croise celui de ce personnage entouré de ténèbres, avec son parapluie pagode et ses airs de prince maudit…
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Pourquoi continuer à vivre quand les personnes qui nous étaient chères ont été massacrées, quand une principauté entière a sombré face à la rage des hommes et que l’on est seul, le dernier représentant de son peuple ?
Lennart Leifsen a choisi la vengeance comme raison d’exister. Retranché dans son lugubre manoir, penché sur son rouet, il tisse chaque soir, à partir de ses larmes, le sort qui maintient les Modigs sous le joug de ses tourments. Jusqu’à ce que survienne cette jeune fille dépenaillée, aussi agaçante qu’inconsciente, et que les larmes providentielles se refusent à lui…
Mon avis :
Le peuple des Modighjem et le peuple de Skovhjem sont en guerre depuis longtemps. Modighjem va décimer entièrement le peuple ennemie. Mais ils vont oublier Lennart Leifsen, seul survivant. Pour se venger, il va lancer une malédiction sur Modighjem en les mettant dans un cauchemar infinie. De plus, il va tisser tout au tour, un bois étrange, lugubre et magique. La princesse héritière de Modighjem, ne va pas être touchée par le sort et va essayer de sauver son peuple.
Ici il s'agit d'un conte ou plus exactement de la réécriture d'un conte celui de la Belle au bois dormant. Bon honnêtement je ne connais pas bien la Belle au bois dormant mais j'en connais les grandes lignes. Je ne vais donc pas rentrer dans les détails vu mes lacunes sur ce conte mais la façon dont l'auteur a réécrite l'histoire m'a plu. Pour moi, elle a pris les éléments clés du conte originale, et les a refaçonné pour écrire son propre conte. Et c'a ma beaucoup plu.
La plume de Laetitia Arnould est juste splendide. J'ai été enchanté par le style dès les premières lignes
Lennart Leifsen, est le personnage qui m'a le plus convaincu. Il vient de perdre son peuple entier, il est colère, tristesse et vengeance. Liv va être sa lumière au bout de ce long tunnel sombre. J'ai bien aimé le caractère ambivalent, on ne sais jamais sur quel pied danser avec lui.
Liv, la princesse héritière est une enfant qui a toujours été surprotégée par ses parents. Elle est donc capricieuse, entêtée. Au début du récit, je l'ai trouvé forte et intelligente. Mais plus on avance dans le récit, plus je l'ai trouvé naïve et idiote. Autant je l'ai apprécié au début, autant je l'ai détesté à la fin.
Là ou j'ai trouvé ma lecture décevante, c'est sur l'intrigue. Car tout est dit au début et la suite n'est que répétition sur répétition. On tourne carrément on rond. Les événements sont sans surprises. J'ai eu beaucoup de mal à le finir.
Donc lecture décevante pour moi. Et c'est bien dommage car la plume est vraiment belle.
Ici il s'agit d'un conte ou plus exactement de la réécriture d'un conte celui de la Belle au bois dormant. Bon honnêtement je ne connais pas bien la Belle au bois dormant mais j'en connais les grandes lignes. Je ne vais donc pas rentrer dans les détails vu mes lacunes sur ce conte mais la façon dont l'auteur a réécrite l'histoire m'a plu. Pour moi, elle a pris les éléments clés du conte originale, et les a refaçonné pour écrire son propre conte. Et c'a ma beaucoup plu.
La plume de Laetitia Arnould est juste splendide. J'ai été enchanté par le style dès les premières lignes
"Chacune des paroles refaisait subitement surface, comme une succession de bouées immergées de force, qui remonteraient brusquement des flots. D'heure en heure, elles s'étaient faites plus douloureuse, plus insistantes et plus cruelles que jamais. Pareilles à celles d'un chant maudit, propagé par un écho lancinant : "rien ne sèche plus vite que les larmes"
"Puissiez-vous ne jamais connaître le repos, vous qui vous complaisez dans mon malheur. Puissiez-vous cesser d'aimer, d'espérer et de rêver. Puissiez-vous devenir les marionnettes d'une douleur et d'une peine éternelle"
Lennart Leifsen, est le personnage qui m'a le plus convaincu. Il vient de perdre son peuple entier, il est colère, tristesse et vengeance. Liv va être sa lumière au bout de ce long tunnel sombre. J'ai bien aimé le caractère ambivalent, on ne sais jamais sur quel pied danser avec lui.
Liv, la princesse héritière est une enfant qui a toujours été surprotégée par ses parents. Elle est donc capricieuse, entêtée. Au début du récit, je l'ai trouvé forte et intelligente. Mais plus on avance dans le récit, plus je l'ai trouvé naïve et idiote. Autant je l'ai apprécié au début, autant je l'ai détesté à la fin.
Là ou j'ai trouvé ma lecture décevante, c'est sur l'intrigue. Car tout est dit au début et la suite n'est que répétition sur répétition. On tourne carrément on rond. Les événements sont sans surprises. J'ai eu beaucoup de mal à le finir.
Donc lecture décevante pour moi. Et c'est bien dommage car la plume est vraiment belle.
Infos livres :
#ISBN9791097222086
Editions Magic Mirror
Collection Enchanted
Collection Enchanted
Pages : 456
Prix Papier : 18,00 €
Prix Ebook : 4,99 €
Ce livre fait parti des 21 sélectionnés pour le Prix Littéraire de l'Imaginaire des Booktubers App (PLIB) 2019 :
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